Résumé :
Ikki voit sa route vers le Pilier Central bloquée par un nouveau Général qui se fait appeler Dragon des Mers. Ikki est étonné car celui-ci, étant donné qu’il est là, ne protège pas son pilier, mais le Marina lui explique que cela ne sert plus à rien, car tous les Bronzes sont blessés, et seul le Phœnix peut encore attaquer le Sanctuaire Sous-marin. Fier comme un coq, le Général ordonne à Ikki de partir, en faisant vibrer son cosmos. C’est alors que le Saint semble chanceler : il reconnaît le personnage caché sous la scale, il l’a déjà vu ! Ce dernier ne s’encombre pas de pensées inutiles, lui, et porte un coup énorme, ressemblant fortement à la Galaxian Explosion de Saga, qui fait exploser le casque du Bronze Saint et l’envoie au pied de l’escalier. Ce coup met fin aux doutes d’Ikki : une seule personne est capable d’un tel acte et pour preuve, il demande à Dragon des Mers de révéler son identité. Celui pouffe, et accepte de retirer son casque : Ikki se retrouve alors face au visage de Saga, le Chevalier d’Or du signe des Gémeaux ! Pourtant, celui-ci est mort il y a bien des batailles, et en effet, le personnage se vexe : il n’est nullement Saga, mais son frère jumeau : Kanon ! Tout comme leur étoile, double, les Chevaliers des Gémeaux sont doubles ; la différence entre les deux, selon Kanon, est que lui est le Mal Absolu, contrairement à Saga, qui balançait entre Bien et Mal. Ikki essaie d’en savoir davantage sur cet homme, mais Dragon des Mers n’est pas là pour plaisanter : il décide de tuer le Saint immédiatement. Connaissant la légende du Phœnix, il l’envoie dans une autre dimension d’où nul ne revient grâce à son « Triangle d’Or », tout comme Saga utilisait les dimensions lui aussi.
Shina, toujours opposée à Thétis, ressent l’étoile du Phœnix faiblir. Pour la première fois, elle se met à douter de leur réussite… C’est à ce moment que Seiya reprend conscience, au pied du pilier de l’Océan Antarctique détruit. Saori elle, est maintenant complètement submergée. Shina décide donc de prendre les choses en main et après avoir mis Thétis au tapis en un coup, part rencontrer Poséidon. Thétis la met tout de même en garde : ce dernier n’est plus un humain, mais un dieu ! C’est donc Shina qui arrive la première et seule face au trône du dieu des Océans, vêtu d’une Scale resplendissante, complètement apeurée… Affolée, elle attaque délibérément le dieu qui, sans bouger le moindre muscle, la met à terre. Shina est hors course sans avoir porté le moindre coup !
Kanon a de quoi se réjouir : Seiya titube difficilement sur la route du Temple, Shiryu reprend a peine connaissance, l’étoile de Shina s’éteint lentement… Cinq généraux sont déjà morts mais cela semble lui faire plaisir. Il est alors interrompu dans ses pensées par une mélodie : c’est le général Sorrente de Sirène qui vient lui faire part de ses doutes ; en effet, un pressentiment lui fait douter des raisons de Poséidon de s’attaquer au Sanctuaire terrestre. Et pour commencer, il souhaiterai savoir pourquoi un inconnu comme Kanon a été nommé Général en chef. Kanon agit-il vraiment pour le bien de Poséidon ? La conversation est cependant coupée par une cosmo-énergie se dirigeant vers le pilier de l’Atlantique…
Il s’agit de Shun, à peine amoché, qui se retrouve face au pilier de l’Atlantique Sud, et donc à Sorrente. Celui-ci lui conseille de se retirer mais, pour une fois, Shun n’écoute pas et fonce sur le Marina, qui l’envoie rouler à plusieurs mètres. Comprenant que le Saint est prêt à mourir, Sorrente entonne la « Mélodie de la Mort » à sa flûte, et Shun ne doit son salut qu’au Chant d’Athéna, qui interrompit Sorrente…
Bizarreries :
- Après Kiki, c’est au tour de Shaina d’avoir une voix merdique, et en plus elle nous sort des phrases qui veulent rien dire : « Je suis une autre étoile qui faiblit ». Mais bien sûr ma cocotte.
- Décidément les traducteurs sont vraiment des tanches, en 114 épisodes le Thunder Claw de Shaina n’est jamais traduit correctement ! Ici, on a donc droit à « A moi, la force de l’éclair ! »
- Seiya, notre belle au bois dormant à nous, se réveille enfin après une chtite sieste de trois épisodes ! Il attendait quoi, que Shaina vienne lui faire un gros poutou peut-être ? Deux baffes, oui !
- Sinon Siegfried est quand même un brin trouillard, parce qu’il suffit que Sorrento lui fasse « Bouh ! » pour lui faire lâcher prise ! Mais de quoi t’as peur, de toute façon tu vas claquer, abruti !
- A peine revenu, Sorrento alias le clarinettiste albinos nous fait sa chochotte : « Allez, laisse-moi tranquille ». Dis donc si ça te gonfle de garder ton pilier y faut le dire, hein !
- Et après il nous sort une vanne supra-pourrie : « Ecoute la chanson de la mort, une chanson qu’on n’entend pas deux fois… ». Sans déconner, des comme ça, même Vincent Lagaf il oserait pas ! |